The Guardian : L’aventure inoubliable de la journaliste Amy Liptrot en Algérie
Découvrez les impressions éblouissantes d'Amy Liptrot lors de son voyage en terres algériennes.
Une écrivaine et reporter du journal anglais The Guardian, Amy Liptrot, a récemment partagé son voyage en Algérie, où elle a été enchantée par la beauté du pays et l’accueil chaleureux de ses habitants. Dans un article Intitulé : J’ai emmené mon tout-petit en Algérie – et nous avons été chaleureusement accueillis partout, paru ce samedi 30 décembre, elle relate son aventure qui a débuté par une traversée en ferry depuis le port de Marseille jusqu’à Alger.
Alger, une capitale éblouissante au bord de la Méditerranée
Amy décrit sa première vision d’Alger en émergeant de sa cabine après une nuit en mer. La ville, d’une blancheur éclatante, s’élève au-dessus de sa baie méditerranéenne, dominée par le Mémorial des martyrs, symbole de la lutte pour l’indépendance. Pour elle, c’était un spectacle éblouissant.
Malgré le potentiel touristique énorme de l’Algérie, peu de visiteurs étrangers s’y aventurent, principalement des globe-trotters et des amateurs d’aventures. Amy confie qu’une semaine avant son départ, elle a été confrontée à la surprise de certaines personnes quant à son choix de visiter Alger malgré les « problèmes » évoqués par un Algérien.
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Découverte d’une nation jeune, passionnante et fière
Cependant, dès son arrivée, Amy a été agréablement surprise par l’accueil chaleureux des habitants. Elle a notamment été témoin d’une excursion de femmes kabyles chantant et dansant joyeusement à Tipaza. Les marchés de rue dans la Casbah d’Alger, vendant des produits locaux plutôt que des souvenirs touristiques, ont également marqué sa visite.
Au-delà des différences culturelles auxquelles elle ne s’attendait pas, Amy a découvert une nation jeune, passionnante et fière. Son fils a été constamment choyé par des embrassades, goûtant aux délices locaux tels que les cerises et les figues. Elle a été séduite par le mélange distinctif d’arabe, de français et de Tamazight que les Algériens parlent.