Photographes étrangers à suivre de près – George Steinmetz
Mieux connu pour ses photographies d’exploration, George Steinmetz a une curiosité inquiète pour l’inconnu: les déserts lointains, les cultures obscures, les mystères de la science et de la technologie. Un collaborateur régulier de magazines National Geographic et GEO, il a exploré des sujets allant des tronçons les plus reculés du quartier vide de l’Arabie au peuple d’arbres inconnus de Irian Jaya.
Né à Beverly Hills en 1957, George est diplômé en géophysique de l’université de Stanford. Il a commencé sa carrière dans la photographie après avoir fait de l’auto-stop en Afrique pendant 28 mois. Sa passion actuelle est de photographier les déserts du monde en pilotant un parapente motorisé. Cet avion expérimental lui permet de capturer des images uniques du monde, inaccessibles aux avions traditionnels et à la plupart des autres modes de transport.
George vit à Glen Ridge, New Jersey, avec sa femme, Lisa Bannon, rédactrice en chef du Wall Street Journal, leur fille, Nell, et leurs deux fils, John et Nicholas.
“L’Algérie possède la plus grande partie du Sahara, le plus grand nombre d’oasis et une extraordinaire variété de terrains sablés surréalistes. En raison de la situation politique interne, il a été difficile pour les étrangers de s’y rendre au cours des quinze dernières années.” – George Steinmetz
“Les oasis de l’Algérie ont été développées avec trois méthodes d’irrigation distinctes. Certains utilisent des aqueducs souterrains ou des foggaras, un système originaire de Perse et introduit en Afrique du Nord au deuxième siècle. D’autres oasis du désert utilisent des dépressions creusées dans le sable pour atteindre des aquifères peu profonds où l’eau est tirée par des chameaux, des ânes ou des pompes mécaniques pour irriguer les petits jardins familiaux.” – George Steinmetz
“Le Sahara central, dans le sud profond de l’Algérie, est dominé par de forts vents Harmattan qui parcourent le paysage, sablant le substratum rocheux en sculptures surréalistes dans une mer de sable.” – George Steinmetz
