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Tragédie routière à Touggourt : sept victimes carbonisées dans une collision (VIDÉO)

Sécurité routière en Algérie : la série noire continue avec un nouvel accident mortel

Un nouvel accident tragique vient endeuiller les routes algériennes. Ce jeudi matin, une collision survenue sur la RN 3, entre Touggourt et Ouargla, a causé la mort de sept personnes, toutes carbonisées. Le drame s’est produit au petit matin, peu après 06h00, dans la zone 40, située dans la commune d’El Hadjira, selon les premières informations communiquées par la Gendarmerie nationale et relayées sur la page « Tariki ». Le bilan, encore provisoire, a été confirmé par la Protection civile, qui précise que le bus impliqué dans l’accident assurait la liaison entre Guelma et Hassi Messaoud.

Un bus ravagé par les flammes

L’accident, qui a impliqué un bus de transport de voyageurs et une voiture, a rapidement pris une tournure dramatique avec l’incendie qui s’est déclaré après la collision. Une vidéo diffusée par les autorités montre le bus entièrement ravagé par les flammes, laissant peu d’espoir pour les occupants des véhicules. Les raisons de cet accident ne sont pour l’instant pas encore connues, et une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de cette tragédie.

Le bilan de l’accident tragique survenu sur la RN 3, reliant Touggourt à Ouargla, s’est malheureusement alourdi. Selon les dernières informations publiées sur la page « طريقي Tariki« , le nombre de victimes est désormais de sept personnes décédées (رحمهم الله). L’accident, qui a eu lieu au niveau de la zone 40 dans la commune d’El Hadjira, continue de soulever des questions sur les causes de cette collision meurtrière.

Un bilan lourd en pertes humaines

La Protection civile a indiqué qu’un bilan provisoire faisait état de sept morts, tous piégés dans les flammes qui ont rapidement englouti les véhicules après la collision. Cet accident vient s’ajouter à une longue série d’incidents similaires ayant endeuillé les routes algériennes au cours des dernières semaines. La fin de l’été a été particulièrement marquée par des accidents mortels impliquant notamment des bus et des poids lourds, augmentant le nombre de victimes et de blessés sur les routes.

Une série noire d’accidents de bus en Algérie

La série noire des accidents de bus ne cesse de s’allonger. À peine la rentrée amorcée, les routes algériennes continuent de connaître des drames qui mettent en cause la sécurité routière et l’état des infrastructures. La veille de ce tragique accident, onze personnes avaient été blessées à Blida après le dérapage d’un bus devant le stade Tchaker. Le même jour, dans la wilaya de Boumerdès, une collision entre un bus et un camion sur la RN 24 avait fait 24 blessés, dont deux dans un état critique.

Ces incidents font suite à d’autres accidents qui se sont produits durant la fin du mois d’août. Le 29 août, à Aïn Témouchent, le dérapage d’un bus avait causé neuf blessés. Quelques jours auparavant, le 25 août, une collision entre un bus et un véhicule utilitaire à Sebdou, dans la wilaya de Tlemcen, avait fait deux morts et 12 blessés.

La liste des drames routiers s’allonge inexorablement, avec de nouvelles victimes chaque semaine. Ces accidents, souvent impliquant des bus et des poids lourds, soulèvent des interrogations sur les mesures de sécurité et la régulation du transport routier en Algérie. Les conditions de conduite, l’état des véhicules et le respect des réglementations sont des facteurs qui devront être sérieusement pris en compte pour enrayer cette vague d’accidents mortels.

Une urgence pour renforcer la sécurité routière

Face à cette recrudescence d’accidents mortels, les autorités algériennes sont appelées à renforcer les mesures de sécurité routière. Le mauvais état des routes, la vétusté de certains véhicules et la conduite dangereuse sont autant de facteurs qui aggravent le risque d’accidents. Il est urgent de mettre en place des mesures plus strictes pour prévenir de tels drames. Cela inclut la modernisation des infrastructures, la vérification régulière des véhicules et la sensibilisation accrue des conducteurs aux dangers de la route.

La Gendarmerie nationale et la Protection civile continueront d’informer la population sur les dangers de la route, en diffusant notamment des messages de prévention via la plateforme « طريقي Tariki ». L’espoir reste que ces efforts conjoints permettront de réduire le nombre d’accidents tragiques et de protéger davantage la vie des citoyens.

L’accident survenu entre Touggourt et Ouargla n’est que le dernier exemple d’une série d’incidents mortels qui secouent régulièrement les routes algériennes. Ce drame, qui a coûté la vie à six personnes carbonisées dans les flammes, relance une fois de plus le débat sur la sécurité routière dans le pays. Il est impératif d’agir rapidement pour mettre en œuvre des solutions efficaces et durables, afin de protéger les usagers de la route et de prévenir de nouvelles tragédies.

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